Naulë Helcë & Urulòkë

P.E.R.S.O

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Nom :

Helcë [ Glace ]

Prénom :

Naulë [ Chant des loups ]

Surnom :

La Dame Blanche [ Dragon blanc + Cheveux blancs + Lame blanche = Tilt chez les Eneliens xD ]

Age :

22 ans

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Passé :

Tiens donc ? Que fait-tu là toi ? Qu'est ce qui t'as pousser ici ? L'ennui ou la curiosité ?
Peu importe, car c'est l'histoire de Naulë que tu cherche n'est-ce pas ? Qui te dit que je voudrais te la raconter ? Non, non.. Ranges donc ta lame, je sais bien que je n'aie pas le choix... Et puis tu risques surtout de la casser sur mes écailles... On n'a pas idée de menacer un dragon avec un vulgaire poignard.
Comment ca ? Les dragons sont des animaux ?
Effectivement, vous humains avez apprivoisé certains des nôtres. Nous ne sommes peut être pas toujours aussi intelligent que vous, mais croyait-tu que nous ne pouvions pas communiquer entre nous ? Allons, cesse de trembler, tu es venue ici pour entendre une histoire, après, tu oublieras que c'est un dragon qui te l'as raconter...

La femme poussa un cri, les mains crispés sur son ventre distendu. Nul ne savait qui elle était, ni d'où elle venait, on savait simplement qu'il y a deux mois, elle avait débarquée ici, dans l'un des quartiers les plus mal-famés de la ville. Ses longs cheveux étaient plaqués sur son visage par la sueur, ses yeux aveugles étaient plissés sous la douleur.
La vieille femme gémit. Depuis des années qu'elle dirigeait une maison close, elle n'avait jamais vu un petit bout de femme comme cela. La demoiselle était jeune, très jeune. Arénia ne lui donnait même pas vingt ans. Elle n'avait rien dit, ni son nom ni d'où elle venait. Malgré sa cécité, il leur avait semblé qu'elle savait vers quelle maison se diriger pour demander l'asile. Arénia gémit de nouveau. Elle était trop bonne. La petite avait promis de payer une fois son enfant né, et la maquerelle savait très bien de quel genre de payement elle parlait.
Une des filles posa un mouchoir froid sur le front de la future mère. Son handicap n'avait pas empêché l'inconnue d'être dure à la tache, aussi bien à la cuisine qu'au ménage, et les autres habitantes du 3, rue du Drark avaient vite apprécié cette aide inattendue.

Un autre cri rompit leur silence pensif. Une petite chose tomba d’entre les jambes de la femme, et se mit à brayer sans aucune aide.
Une fois.
Deux fois.
Puis elle se tut. Il n’était déjà pas dans sa nature de se plaindre. La jeune mère tourna la tête vers l’enfant, sans la voir, mais sentant sa présence, son odeur, l’odeur de leurs sangs mêlés…
Arénia lava le tout-petit puis le posa près du sein de la femme. Personne ne dit rien. Le bébé était magnifique, en pleine santé, ses beaux yeux gris ardoise se posait sur eux avec ce qui semblait être de la curiosité, oui. Cela était une bonne chose. La femme n’avait pas cette chance. Son teint déjà blême était cireux, des profonds cernes se creusaient sous ses yeux, et l’éclat de ses cheveux s’était terni. Elle eut tout juste le temps de murmurer un mot, en caressant le visage de la petite fille, puis son cœur cessa de battre.

L’une des filles ferma les yeux de l’inconnue, puis prit le bébé dans ses bras. Dans ces régions, la mort était une chose que l’on vivait en permanence. Celle qu’elles appelaient maintenant Elen n’était pas la première à succomber à un accouchement. Elle était morte. C’était ainsi… C’est tout.
Arénia tourna son visage ridé vers l’enfant, murmurant pour elle-même.
« Que va t’on faire de toi, petite Naulë ? »

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On peut penser ce que l’on veut des maisons closes, mais celle dirigée par Arénia était honnête. Toute fille qui y entrait savait à quoi s’attendre, et l’acceptait en connaissance de cause. Il ne serait venu à l’idée de personne d’impliquer une enfant dans ce que nous considérerons comme des jeux d’adultes.
Ce qui n’empêcha pas ladite enfant de comprendre très vite certaines choses de la vie. Vous savez, le genre de choses que vous préférez aux petits humains. Malgré tout, lorsque l’on n'avait pas d’illusions, comment peut-on être choquer ?
Naulë grandit ici, en compagnie d’une vingtaine de mère qui l’aimait toutes autant. Elle n’avait par contre qu’un seul père. Il s’appelait Sorno, c’était un eunuque au service d’Arénia, il était très doux et aimait le monde entier.
Des prostituées et un eunuque ne forment pas vraiment une famille idéale pour une petite fille pleine de vie… Qui se trouva un défouloir dans les rues.
Plus rapide et plus agile que les tires-bourses qui peuplaient l’endroit, elle se joignit aux bandes de gamins des rues, apprenant à frapper plus vite et plus fort que son adversaire.
Oh riez si vous le désirez ! Mais sachez qu’elle n’acceptera jamais la pitié. Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais je sais qu’en ces temps-là, elle était heureuse, ma petite maîtresse…

Le temps passa… Les années également… Une vie certes pas monotone, mais même moi je ne connais pas tout ce qui s’est dérouler durant cette période. Ma cavalière n’aime pas remuer ses souvenirs, je le sais.

Naulë s’était endurcie. Forte et solide, lors de ses temps libres, elle jouait les coursiers pour ramener quelques sous de plus à sa famille. Si cela ne suffisait pas, elle volait cet argent.
Une véritable affection était née entre elle et Arénia, aussi personne ne fut surpris lorsque la vieille femme choisie l’adolescente pour seule escorte lorsqu’elle voulut aller à Jaik. La maquerelle avait dit vouloir rendre visite à des parents et Naulë n’avait pas posé de questions. L’envie de voyager était trop forte. C’était il y a huit ans.
Elles dirent au revoir aux filles et à Sorno, sans se douter qu’elles les voyaient pour la dernière fois. Si la demoiselle n’était pas trop mauvaise cavalière, la vieillarde préférait adopter une allure plus tranquille… et surtout plus confortable !
C’est lors d’une de leur halte que nous nous rencontrâmes pour la première fois. C’est arrivé lorsque Naulë ramassait du bois pour faire cuire leur repas. Ses longs cheveux blancs pendaient sur ses épaules, et son regard lavande pénétrait ardemment la pénombre du sous-bois. Jusqu’à ce que je gémisse, elle ne m’avait pas remarqué, mais le petit son que j’émis la fit fortement sursauter. Habituée aux villes, elle connaissait mal la faune sauvage, qu’elle savait simplement dangereuse. Je ris aujourd’hui en pensant que son second réflexe a été de porter la main à la longue dague qui battait contre sa cuisse.
Je n’étais qu’un petit bout de dragonneaux aux écailles blanches. Certes, mes dents étaient pointues, mes griffes tranchantes et mes ailes déjà puissantes. Certes mes yeux dorés voyaient parfaitement dans l’obscurité et mes écailles étaient acérées. Je n’étais toutefois pas un danger pour une adolescente armée de quatorze ans et des poussières.
Elle m’a ramené à ce qu’elles appelaient, leur ‘campement’, et j’ai rencontré Arénia pour la première fois. C’est elle qui expliqua à Naulë que je n’étais rien d’autre qu’un dragon. Je la fascinais déjà, mais cette admiration s’accrut lorsqu’elle sut que j’allais encore énormément grandir. Je me demande parfois si elle avait compris que je n’étais encore qu’un bébé ou pas…
Par un accord tacite, je continuais ( Au début je voulais mettre ‘continuât’, mais j’ai l’impression que le verbe continuer ne possède pas cette conjugaison. Je me trompe ? ) la route avec elles. Elles sur leurs chevaux, et moi perché derrière Naulë.
Nous arrivâmes à Jaik peut après. Les Dieux avaient commencé à se battrent, mais les humains ne l’avaient pas encore sentis. C’est à cet instant que l’on constate vos déplorables manques de capacités sensitives, mais nous y reviendrons.

Ene déracina la ville au moment où nous y entrions, et ce fut la panique. La plupart des animaux furent terrorisés de sentir l’attraction terrestre se modifier, et beaucoup de gens basculèrent dans le vide. Moi-même je dois avouer, que si je n’avais pas pu trouver refuge tout contre ma maîtresse, je serais devenue fou. J’étais jeune souvenez-vous…
Si nous eûmes la chance de pouvoir rester sur le sol de la ville, ce ne fut pas le cas d’Arénia qui basculât, entraînée par la terreur de son cheval dés les dix premiers mètres de hauteur. Le cri déchirant de Naulë se perdit dans la cacophonie ambiante.

Là encore le temps passa. Le temps ne peut que passer, personne n’a jamais trouvé comment l’arrêter, alors il faut se contenter de le regarder passer.
Je pense que la vision de sa mère adoptive sombrant dans le vide traumatisa quelque peu ma maîtresse. Il est certain en tous cas que la jeune fille riant et souriant avec qui j’avais voyagé durant deux jours avait disparue. Devenue très sombre, elle survécut comme elle le pût dans la ville d’Ene. Un autre choc l’ébranla fortement lorsque des dragonniers revinrent de mission. Je lui arrivais déjà à la cuisse, et je suivit aussi bien qu’elle leur dialogue, sans en comprendre le sens.
Toutes les villes humaines avaient été rayées de la planète.
La sentence était définitive, et tout ce que ma présence avait sauvegardé de joie et de rire disparut sous sa véritable nature, sauvage.
Elle nous trouvât une cachette dans le parc, et revenait toujours avec de la nourriture, mais je ne sut jamais comment elle se procurait cette nourriture… C’était aussi bien je pense.
Dés que je fut assez grand pour pouvoir la porter, et elle assez vieille pour y entrer, nous intégrâmes l’Ordre des Dragonniers. Elle avait attendu plus longtemps, afin d’apprendre un peu avant les débutants à manier une lame, et nous nous fîmes un peu remarquer. Ceux qui avaient son âge avaient le plus souvent des rangs importants… Je ne crois pas qu’elle en garda une quelconque rancune.
J’étais agile et rapide, ma grande taille me permettait d’être assez puissant pour atteindre la vitesse des plus petits dragons. Elle avait le pied agile et la main ferme, et me faisait totalement confiance. Elle savait tenir une épée avant d’entrer parmi les Dragonniers, mais son niveau s’améliora considérablement.
Nous en sommes ainsi aujourd’hui…

Ah ? Tu ne veux pas repartir tout de suite ? Que cherches-tu donc ?
A quoi… A quoi est ce qu’elle ressemble ? Pourquoi donc ? Tu es intéressé ? Ne rougit pas, je plaisante.
Laisse moi réfléchir… Elle m’a raconté son histoire un jour de déprime, mais dans ses mots à elle… Il me faut un petit instant pour traduire comment moi je la vois…
Pour une humaine, elle n’est pas très grande, sa taille devant frôler le 1m75. Elle est mince et musclée, à force de se consacrer uniquement à son travail de dragonnière. Sa peau est hâlée par le soleil et le vent, et les longs cheveux blancs qui lui retombent constamment devant les yeux forment un contraste intéressant. Ses yeux violets sont plus froids que le souffle d’un dragon de glace, et fixe le monde sans fard. Néanmoins, ce que je remarque le plus souvent, c’est sa présence. Lorsqu’elle est en colère, j’éviterais de bouger une écaille. Vous m’avez compris, dans ces cas là, même moi je suis intimidé.
Je la vois toujours se déplacer avec grâce et souplesse, sans prétention. Je crois que vous avez un mot pour cela…
Féline.

Que dis-tu ? C’est une jolie fille ? Oui, je suis d’accords avec toi, elle est même très jolie. Sauvage, froide et absolument pas intéressée, mais jolie tout de même.
Oh non ! Ne part pas si vite ! Sache simplement que je suis peut être un animal, mais que je suis TRES jaloux…

Ah ! Et n’oublie pas que les dragons ne peuvent pas parler…

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Caractère :

Naulë est ce que l’on appelle, une femme forte. Elle est solide, et ne recule devant rien. Pour vous avouer, pitié n’est pas un mot qui figure dans son vocabulaire, ni pour la demander, ni pour la dispenser… Ayant grandie relativement seule, et se faisant respecter par la force des poings, les faibles ont tendances à la dégoûter.
La jeune fille n’est pas le genre de personne qui hésite à donner son avis, quitte à blesser son interlocuteur… Bon en même temps, elle se fiche de ce que peut bien penser ledit interlocuteur comme de son premier biberon. Refusant de s’attacher aux autres, le seul à avoir trouver grâce à ses yeux est son dragon, Urulòkë. Bien évidemment, elle refuserait de l’admettre, mais préférait mourir que d’abandonner son compagnon à écailles. On peut aussi dire que le reptile est le seul à la connaître réellement, mais ce n’est qu’un animal, et il ne vous raconterait rien. Nous y reviendrons.
Le monde extérieur ne voit qu’une seule des facettes de Naulë, celle qu’elle accepte de montrer. Une femme sauvage impitoyable et entièrement consacrée à sa mission de Dragonnière. Etrangement, elle déteste l’hypocrisie, trouvant la vérité sans fard plus attirante. D’un naturel un peu casse-cou, elle s’est souvent placée, et son dragon avec elle, dans des situations très inconfortables, au point que certains dragonniers se demandent si elle ne serait pas animée de quelques pulsions suicidaires. Il n’en ait rien et malgré la difficulté, Naulë et Urulòkë réussissent (presque) toujours à s’en sortir seul. Laisser quelqu’un leur porter de l’aide serait une grave atteinte à son honneur. [ Comprendre : Elle préférait crever plutôt que laisser qui que ce soit la sauver. ] Ne vous posez pas de questions, Naulë est bizarre, accepter ce fait et tout iras mieux dans votre vie.
Vous avez déjà entendu l’avis d’Urulòkë sur la question, et avez forcément compris que la jeune fille n’est pas laide du tout. Evidemment, ce genre de physique attire forcément quelques fous qui s’imaginent réussir ce que personne n’a encore réussi. Vous pouvez laisser vos illusions au vestiaire, vous avez plus de chances de vous retrouver avec une longue dague contre la gorge plutôt que de l’accompagner dans son lit. Une rumeur courrait d’ailleurs comme quoi elle serait toujours vierge… Mais personne n’a pu prouver ou infirmer cette rumeur. Disons simplement qu’ils se sont soudains retrouver priver d’une petite partie de leur anatomie.
Barbare ?
Peut être un petit peu, mais détestant à la fois la foule et les espaces clos, il est déconseiller de l’aborder dans une taverne par exemple. Vous l’aurez compris, elle est légèrement agoraphobe et claustrophobe. Elle a assez de maîtrise de soi pour ne pas paniquer, mais peut devenir irritable. [ Comprendre : Encore plus irritable que d’habitude. ]
Etant capable de réaction violente, voir très violente, il y a plusieurs choses qui sont proscrite en sa présence. Cela peut aller de la toucher, jusqu’à insulter son dragon, en passant par lui poser des questions sur son passé. En fait, l’attitude la plus prudente est de la laisser tranquille. Tant qu’on ne vient pas l’emmerder, elle ne demande rien à personne… Ce n’est pas gentils ca ? xD
Un autre de ses (nombreux) défauts, est son manque de respect face à la hiérarchie. Les seuls à pouvoir lui donner des ordres doivent l’assurer qu’en plus d’un rang supérieur au sien, leur valeur l’est également. Hors de question de se laisser dicter sa conduite par un imbécile !

Ca, c’est ce que tout le monde peut voir. De nature solitaire, la jeune femme ne dévoile pas certaines autres facettes de sa personnalité.
Il lui arrive de traverser des crises de mélancolie, où on la voit errer sur les remparts ou, près du ruisseau solitaire. Solitude, un mot agréable à ses oreilles, synonyme de liberté. Ne vous y trompez pas… Si elle a intégré l’Ordre, c’est ne pas par une quelconque dévotion envers les habitants de cette cité, elle ne ressent rien à leur égard, mais tout simplement parce qu’être dragonnière c’est être libre.
C’est également pour cette raison que l’endroit où elle se sent le mieux n’est autre que le dos de son dragon. Elle ne se sent rien de plus que vivante lors d’un combat aérien, tout en connaissant ses limites et veillant à ne pas les dépasser.
Peu intéressée par les hommes [ Comprendre : Absolument, et totalement pas intéresser ], il lui arrive d’être douce, voir agréable avec les enfants. Les petits Eneliens ont à force compris qu’elle n’allait pas dégainer son épée dés qu’ils lui rentraient dedans. Elle a d’ailleurs plus tendance à afficher l’un de ses rares sourires discrets.

Autre :

Une longue cicatrice scarifiée court le long de son avant-bras gauche, souvenir d’une mauvaise rencontre avec une créature de l’océan. Elle a également un tatouage tribal en haut du biceps gauche, et un autre au poignet droit.
Ah aussi, si vous la voyez sourire, ce n’est pas parce ce qu’elle est joyeuse, c’est plutôt parce que vous allez vous retrouvez avec une dague dans le ventre dans les secondes qui suivent. Barbare un jour, barbare toujours ! ( xD )

Comment as-tu connu le forum ?

Et bien, sur MYH et par ma Clairounette ( Adresse en double yeeeeh xD )

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D.R.A.G.O.N

Nom :

Urulòkë [ Dragon de Feu ]

Pouvoir :

Feu. Il a d’ailleurs quelques difficultés à jauger la température, ce qui agace particulièrement sa dragonnière. Ladite dragonnière préférerait que son compagnon à quatre pattes ne transforme pas en poudre calciné les Goundors qu’ils chassent.

Taille :

Grand ( trop grand selon sa dragonnière... xD )

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Caractère :

Urulòkë n’est pas quelqu’un de placide, patient et agréable à vivre. Noble de cœur certainement. Ayant grandi avec Naulë, il lui voue une fidélité absolue, et donnerait sa vie pour elle sans aucune hésitation. Féroce combattant, adorant enquiquiner sa maîtresse, il s’entend généralement assez bien avec les autres dragons. Sa taille imposante aidant probablement… Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il n’est pas de glace mais de feu, et cela se reflète sur son caractère… changeant. Autant à Ene il sera un vrai cabotin, jouant mille et une farces aux palefreniers et à Naulë, autant en mission il sera terriblement sérieux, capable de tuer sans sourciller la première créature qui tenterait de s’en prendre à sa dragonnière… Ah j’oubliais… Il est assez jaloux et n’aime pas la voir caresser le museau d’un autre dragon, ou être en compagnie de quelqu’un d’autre que lui. Evidemment, comme Naulë n’aime pas être en compagnie de qui que ce soit, il n’a pas beaucoup de mal.

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Apparence :

Urulòkë est grand, c’est un fait. Urulòkë est fort, ca n’est pas tellement surprenant. Mais surtout, Urulòkë est beau. ( J’ai de belles écailles, et je les entretiens xD ) Dragon de type écailleux, ses yeux peuvent passer de l’or à l’argent selon son humeur. Son corps fin est plus proches du serpent que de la créature massive, et il a une souplesse presque digne du reptile. Très à l’aise dans les airs, il lui arrive de faire des peurs bleues à sa cavalière qui, non, non, et non, ne tiens vraiment pas à mourir écrasée en bas. Ses écailles sont aussi resplendissantes que du diamant, dont elles ont la solidité.
Vous l’aurez compris, Urulòkë est le Don Juan des dragons. ( En même temps, il est 22h20, je me suis couchée à 4h du mat’, vous m’en voudrez pas hein xD ? ) Le grand dragon blanc est aussi un prédateur, comme tous ceux de son espèce. Ses griffes sont suffisamment tranchantes pour percer la carapace des monstres du sol, et ses crocs les valent bien.
Méfiez-vous…

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Point fort :

Malgré sa grande taille, il est très souple, agile et rapide. La spécialité du duo étant le combat aérien, en évitant le corps à corps direct.

Magnifique dragon *_* tu l'as trouvé sur quel site ?

Et la présentation est terrible ! Bien trouvé, l'idée de faire parler le dragon... Bien qu'on se demande quand même comment il a pu connaitre tout ça sur la naissance de Naulë et sa tendre enfance. Enfin, c'est pas important =P

Personnage interessant. Je sais pas si elle s'entendrait avec Even. Hum.. à reflexion, non, pas du tout xD Enfin, on verra.

Bon jeu à toi !

Merchi
Où ? A vrai dire, je ne sais plus, ca fait un moment qu'il traine sur mon disque celui-là ^^

Merci, merci
Et bien en fait xD Arénia a raconter le début à Naulë, et desfois, simplement pour s'en souvenir, elle raconte certaines choses à son dragon. Je pensait le mettre dans le caractère, mais j'ai été interrompue ( Par cette saleté d'ordi qui s'éteint tout seul... ) et j'ai oublier.

Merci encore xD
Bah, tant qu'on ne s'approche pas dans un périmètre de 9m, elle peut être très agréable, et ne rien dire

Merci ( Oulah, je me répète aujourd'hui ^^' )

J'adore ta fiche, les dessins de la fille sont superbes et le dragon... quelle classe =P
Nos deux persos s'accrocheront ptete un jour, sûrement XD
La mienne a aussi un caractère sauvage quand elle veut
Bon jeu :)

Nous sommes du même avis alors ^^ Merci beaucoup

Je pense que sûrement est le terme le plus aproprié xD On va certainement essayer de se taper dessus.

J'avais lu ca ^^

Merci encore * va torturer Alandy *

( mouahahaha, qui te dis que ça ne va pas être, finalement, l'inverse °petit diable en smiley qui me manque beaucoup là ° *cherche pleins d'idées dans sa p'tite tête pour torturer le perso de sa chère Tatiana XD * )

Hurmmm, bon....ba sinon bienvenue hein

PS : tu le sais déjà, mais elle est trèès belle ta demoiselle

( .... Vu comme ca, tu serais effectivement capable de lui faire péter un cable xD Mais vu que quand elle péte un cable, elle a tendance à sortir sa dague, ce serait trèèèèèèèèèèèès imprudent non ? * petit diable me manque aussi T.T * )

Merci, merci

Ps : Wi hein ? xD