Gwèndàll

P.E.R.S.O

Carte d’identité :

Les gens sont vraiment d’un étrange ici que je m’emmêle les pinceaux et ne sait donc plus par où commencer. Vous vouliez savoir ? D’accord. Sachez. Je me prénomme Gwèndàll, je ne pense pas qu’il y est une signification à ce quelconque prénom qui démontre pourtant une envie d’originalité de la part de mes parents. Réussie ou pas ? À vous de me le dire. Oui je continue ça va ça va… Je suis âgée d’une… vingtaine d’année, ou plus précisément de vingt et un an. Le calendrier local indique que ce fut dans les profondeurs de l’hiver, un douze février ce qui correspond, je crois, à un début d’année ou presque. Je crois que ma présentation personnelle va être rapidement écourtée, je passe à une deuxième partie qui vous intéressera beaucoup plus, enfin…

Passé :

Quand la jeunesse s’embrase et que le début de mai s’annonce comme un renouveau du printemps, des âmes errantes cherchent de quoi former un tout et souvent cela marche. Mais ces pseudos âme-sœurs ne sont que des rêves éphémères néanmoins lourd de conséquences. C’est comme ça que Fiona, qui venait à peine de dépasser la majorité, tomba enceinte quand l’été commença et que son bien aimé partit, en apprenant cette choquante nouvelle pour lui, il n’était pas prêt, elle non plus mais, ce fut la mère qui assuma les conséquences. Cachant ceci à sa famille du mieux qu’elle put pendant les quelques mois de début de grossesse, ses parents comprirent bien trop vite les actes impardonnables de sa fille. Qui voudrait d’elle pour épouse maintenant qu’un bébé la suivrait. Ils la renièrent et elle fut jetée dans une rue d’Ene sans rien hormis sa tenue et les objets qu’elle portait sur elle. Rien ne lui fut restitué, pas même de quoi se nourrir, rien… Marchant jusqu’à la sortie de la ville, les heures étaient longues pour essayer de trouver de quoi manger, elle ne voulait pour rien au monde perdre son enfant, rien… C’était le seul « bien » qu’il lui restait d’un bonheur éphémère perdu depuis quelques mois. Rampant désormais car la fatigue et la faim était bien trop présente pour pouvoir arriver ne serait-ce qu’à se redresser une fraction de seconde. Fiona s’évanouit et un temps qui parut une éternité passa, lentement quand elle se réveilla. Des gens, habillés dans d’étranges longues tuniques noires, tombant sur leurs petits pieds dont on ne voyait que le bout se penchèrent sur elle en murmurant à toute vitesse des paroles incompréhensibles, une autre langue en fin de compte. L’un d’entre eux répétait toujours le même mot, étrangement. Fiona ne comprenait pas ce qui se passait, tous ces gens autour de la table en échangeant quelques rapides mots, d’autres allant à gauche et à droite et toujours cette agaçante personne qui répétait sans cesse le même mot. Quelques secondes passèrent elle reprit conscience de son corps et donc de la douleur qui saisissait entre ses deux jambes. Elle… elle était entrain d’accoucher. Poussez, poussez. C’était donc cela qu’il disait, enfin peut-être. La jeune femme grelottait, peut-être était-ce l’hiver ? Fiona avait perdu toute notion du temps et elle se rappelait juste en être à son sixième mois de grossesse pourtant, on accouchait à neuf mois normalement ? Alors, elle tenta d’articuler une phrase et les mots sortirent péniblement de la voix enrouée de Fiona :

« Où suis-je ? Qui êtes-vous ? Combien de temps ai-je dormi ? »

Tous la regardait désormais avec des yeux ronds, tels des immenses billes et le silence retomba, même la personne qui répétait le même mot s’était tue. De longues minutes passèrent et au moment même où Fiona allait tenter d’aligner une nouvelle phrase, un des personnes fit un pas en avant et lui parla dans sa langue, sans accent, ou presque.

« Everclànd, vous êtes dans une église ma fille et vous avez dormi des mois durant ! »

Il n’y avait rien à ajouter et Fiona ne posa pas de question. L'accouchement se déroula bien, du moins, au commencement. Le bébé sortit sans difficulté mais... lorsque qu'il hurla, respirant à pleins poumons l'air de l'endroit sa mère poussa un cri d'agonie... "Gwèndàll" et mourut subitement. Les personnes présentes ont émis l'hypothèse de l'arrêt cardiaque et personne ne vint pour les contester. Pourtant, le soir, les gens parlaient tout bas autour d'une table devant leur cheminée et la rumeur courut que cet enfant était fils d'un démon. Après tout, personne n'avait jamais vu son père et il y avait bien de quoi se poser des questions même si elles étaient sans aucuns fondements...

Les années passent...

Le jeune garnement a désormais atteint l'âge de dix ans et il est initié aux « arts » de la prêtrise même s'il râle encore et encore à longueur de journée. Très peu pour lui les tuniques tenues par un fin cordage fait main et de prier une entité dont il n'en croit pas l'existence. Cette église est entièrement dévouée au dieu Antu-Di mais, pour Gwèndàll, si les dieux existaient ils lui auraient fait présents d'une mère et d'un père, comme à chaque enfant qui passait en compagnie de ses parents dans l'église. Perdue au milieu d'une forêt âgée d'au moins quelques millénaires, il n'avait droit à aucune sortie jusqu'à l'âge qu'il atteint cette année là.

C'était le douze février et le jeune garçon se réveilla par les faibles rayons qui passaient à travers la seule et unique petite fenêtre de sa chambre. S'habillant en hâte, il se couvrit comme à un temps d'hiver et courut jusqu'à la porte de ces lieux. Il la poussa et fut un instant étourdit par la puissante lumière de la matinée qui n'était pourtant pas très avancée. Ses pieds nus descendirent les marches humides après la pluie étant tombée cette nuit là. Gwèndàll chemina le long du sentier pavé de plusieurs dalles, irrégulières. Ses yeux bleus d'enfants brillaient d'émerveillement, le spectacle s'offrant à lui était d'une beauté époustouflante. Le souffle coupé il en manqua presque de s'étouffer en n'osant point respirer dans ce lieu. Les jardins étaient magnifiques, des futures roses poussaient malgré l'hiver bien alignées dans les jardinières prévues à cet effet. L'endroit était déjà en fleur, même à la mauvaise saison.

La personne dont la tâche était de s'occuper de l'enfant arriva quelques secondes plus tard, en silence et avec un doux sourire. Elle s'arrêta, respectant cet instant de paix et de silence où Gwèn' pouvait admirer la beauté d'un monde, enfin, jusqu'à ce que son innocence prenne fin. Les dieux, en ce moment, étaient agités, la forêt aux alentours était une beauté fatale qu'il fallait cacher à un enfant comme lui. Soupirant, sa réflexion fut troublée par une légère pression sur le bras mais l'homme connaissait déjà ce que voulait l'enfant et il prit la parole sereinement.

« L'Eglise était une construction déjà présente lors de l'arrivée de nos prédécesseurs, nous l'avons aménagé et Antu-Di était bel et bien présent. Moi non plus je n'y croyais pas mais... comment crois-tu que ces plantes arrivent à pousser avec cette température ? »

L'enfant acquiesça, l'air grave, sa lente respiration provoquait à chaque expiration une buée semblable à la vapeur d'eau dans les cuisines si vous voulez une comparaison. Mais ce qui attirait maintenant son attention était la forêt, pourtant, d'instinct, il sut que c'était interdit. Pourtant, dans la soirée, il y alla. Une torche à la main, l'imprudent jeune homme marchait entre les feuilles. En fin de compte, même les mots de son précepteur ne l’avaient pas convaincu et lui-même voulait voir le dieu, Antu-Di. Poussant les feuilles, glissant presque à chaque pas et manquant de pousser un cri à chaque fois qu'un bruit en provenance de la forêt se faisait entendre. Néanmoins, sa curiosité demeura inébranlable et il continua pendant des heures.

Jusqu’au moment où il parvint à une clairière, la végétation s’était écartée comme si on avait prévu sa venue mais Gwèndàll était bien trop fatigué pour en tenir compte. Des bruissements, des bruits de pas, il les entendait venir à lui et cette fois le gamin de dix ans ne put s’empêcher de pousser un hurlement de peur. Une forme, immense, dépassant de loin sa compréhension vint vers lui…

Le matin pointait et le soleil venait de dépasser le haut clocher de l’église. Un des jardiniers sortit et trébucha sur quelque chose puis s’affala par terre, poussant des jurons de colère il se releva et essuya son chemisier puis en voyant sur quoi il avait trébuché, un léger cri s’échappa de sa gorge. Courant rapidement, il ne parvint qu’à ramener le précepteur de Gwèndàll qui, alerté par l’absence de son protégé, commençait à paniquer.

L’enfant était allongé par terre, sur le dos, les bras le long du corps, comme si quelqu’un avait bien pris soin de déposer le jeune garçon. L’état de celui-ci était contrairement tout autre. Ses cheveux autrefois bruns étaient devenus d’un blanc presque trop parfait, fins, lisses, comment ce changement avait-il pu être fait ? De plus, son œil droit avait changé du tout au tout, d’étranges signes noirs se situaient au-dessous de celui-ci, dont la couleur bleue était devenue un pâle gris. Pour couronner le tout, une petite étoile le surplombait. Le précepteur prit peur et attrapa avec l’aide du jardinier le jeune homme dont les vêtements étaient parsemés de tâches aussi rouges que les roses de l’extérieur. En le déshabillant entièrement, ils purent voir le nombre indéfinissable de coupures, comme si une lame les avait faites avec une précision assez troublante mais le plus terrifiant fut lorsqu’on retourna le jeune homme encore inconscient. Le jardinier présent tomba dans les pommes en voyant la blessure. Elle était ensanglanté et traversait le dos entièrement, de l’épaule gauche jusqu’en bas de la jambe droite. Des morceaux de peau pendaient.

A peine quelques minutes plus tard le Conseil de l’église était réuni et ils votèrent à l’unanimité que celui-ci soit envoyé dans la ville d’Ene pour voir un guérisseur car cette blessure semblait mortelle. Mais il y avait bien une condition pour le jeune homme. Celui-ci ne pourrait plus revenir dans l’église, il serait allé dans la ville d’une autre divinité et pourrait apporter malédiction à ce lieu. Ses bagages furent vite préparés et un ami au précepteur du garçon fut contacté pour l’héberger. Le départ suivit dans les quelques heures après le retour de l’enfant…

Six mois passèrent…
Personne ne sut, hormis le guérisseur et le contact, mort à l’heure où je vous conte cette histoire et bien sur Gwèndàll ne surent ce qui se passa dans ce labs de temps.
Le jeune homme se réveilla subitement et sortit de la maison mais Ern l’en empêcha. Ern est le contact, la personne qui l’a gracieusement recueilli lorsqu’il est arrivé à Ene. Il le considérait comme son père et ne mettait jamais son autorité en doute. Mais il y avait des problèmes à l’extérieur et quand Gwèn’ fut bien réveillé, il comprit que quelque chose de terrible se passait à l’extérieur et son regard grave se posa sur celui de son « père ». Celui-ci ne répondit pas mais demanda à Gwèn mettre quelque chose sur le dos car, malgré les efforts qu’il produisait, Ern n’arrivait pas à regarder la cicatrice de son – désormais – fils.
Le chaos dehors paraissait étranger à tout le monde mais Ern et Gwèndàll, trop inquiet sortir. On aurait un tremblement de terre, les gens étaient affolés et ce qui devait arriver arriva. Ene s’éleva dans le ciel, loin, très loin de Selenielle. Tout n’était que Chaos, je [Gwèndàll prend la parole] ne saurait comment vous décrire ce qui s’est passé. Les dieux se sont mis en colère peut-être ? Mais non, les dieux n’existaient pas du moins, je ne savais plus. Père Ern était mort, il s’est fait écrasé par un mur de maison tombé lors du Chaos. J’ai pris peur, je n’ai que dix ans et demi et franchement j’ai très peur, les gens courent, les gens meurent, ils crient aussi et je ne sais plus quoi faire.

Mais, au fur et à mesure la ville d’Ene est redevenue calme, du moins, aussi calme qu’elle put. Les gens avaient déjà commencé à rebâtir, moi, j’étais seul et perdu. Pour tout dire je n’ai pas envie de parler de mes sept dernières années, juste que j’ai vécu comme j’ai pu. J’ai appris à me battre à l’épée du mieux que j’ai pu pour me protéger. Pourtant, ne me posez aucune question sur mon passé, je le regrette et l’enterre à peine, il est trop tôt pour moi d’en parler. J’aimerais tourner la page. Je l’ai fais en rentrant dans l’Ordre des Dragonniers.

Caractère :

Par où commencer ? Gwèn était un petit garçon curieux, très turbulent dans sa jeunesse. Curieux, il n’avait pas sa langue dans sa poche et posait souvent les questions taboues qui lui valaient de sévères réprimandes qui pourtant lui passaient au-dessus de la tête… Plutôt prétentieux, il faisait souvent étalage de ses maigres connaissances à quiconque le croisait. Mais, depuis cet évènement dans la forêt, son caractère a presque changé du tout au tout. Intelligent comme nul autre, il n’a peut-être pas reçu l’éducation d’un noble mais comprend avec rapidité tout ce qu’on lui inculque et se sert de tout ce qu’il sait ou possède pour se sortir des périlleuses situations qui ont parsemé son adolescence. Tout ça, c’est uniquement car Gwèndàll a un don pour écouter les gens bien qu’il ne trouve jamais quelques paroles réconfortantes à leur dire. Il parle plutôt volontiers et n’est pas très timide avec autrui même si parler avec de charmantes dames ou de personnes avec une éducation supérieure à la sienne lui pose quand même quelques problèmes, de peur de les décevoir. C’est vrai, il ne s’engage en rien, ni avec personne de peur de décevoir les gens ou pire, d’être lui-même déçu même si cela lui arrive à longueur de temps, le jeune homme a du mal à s’accepter par certains angles. Par contre, on ne peut pas lui reprocher de ne pas se contrôler car il a une maîtrise presque trop parfaite de lui, les situations tristes ne lui inspirent pas même une larme, pas même un semblant de compassion. On pourrait le dire insensible mais, il garde plus ça pour lui, ses émotions ne concernent pas les autres et hormis un sourire de temps à autre, son expression du visage ne change pour le moins presque jamais. Par contre, il est quand même lunatique de temps en temps, c’est assez étrange car son comportement peut se modifier du tout au tout. Il entretiendra avec vous une conversation animée et pendant que vous parlerez il rêvassera à d’autres choses malgré lui. Beaucoup de gens n’arrivent pas vraiment à accepter ce trait de caractère et Gwèn doit se forcer à se concentrer sur les conversations des gens pour ne pas penser à autre chose. Il n’a par contre dans ce caractère, jamais de sauts d’humeur … Gwèn est le genre de personne à pouvoir passer une journée à rêvasser allongé dans l’herbe ou sur le dos de son dragon pendant les vols auxquels il participe. Ces vols d’ailleurs illuminent sa vie et il y prend un malin plaisir mais, Gwèndàll n’arrive plus à s’étonner de rien ni de personne, étonnez le et il vous le rendra bien car les gens trop banals ne l’intéresse pas et le jeune homme, trop poli pour vous dire que vous l’ennuyez prétextera quelque chose pour quitter la conversation. Et ne comptez donc pas sur lui pour venir vous parler de son plein gré la prochaine fois qu’il vous croisera. Le jeune dragonnier le fait savoir, d’une manière ou d’une autre lorsqu’il ne vous apprécie pas et que vous l’ennuyez. À vous de comprendre… Néanmoins, évitez une chose, par-dessus tout : de mentionner le mot « parents », de le proférer a le don de le mettre hors de lui, c’est l’un des rares cas où il s’énerve très rapidement.

Signes particuliers : Gwèndàll possède un œil bleu et un gris, celui-ci est surplombé d’une étoile et sous lequel un signe y est inscrit. Ce n’est pas un maquillage ou autre artifice mais bien une marque ineffaçable. Son deuxième signe particulier est qu’il a une longue cicatrice en travers du dos. Son dernier est qu’il a une croix autour du cou, symbole de l’église où il était lors de sa jeunesse, il cache sa croyance en Antu-Di

Animal de compagnie :
Gwèndàll possède en effet un animal, enfin posséder est un bien grand mot. C'est plutôt une amitié étrange qui lie ces deux personnes. Vìval est un faucon assez particulier. En effet, celui-ci est d'un blanc étrangement ressemblant aux fins cheveux de la personne qu'il accompagne depuis maintenant huit ans. Ses yeux sont d'un bleu profond qui ne trahit en rien ce qu'il va faire. Toujours aussi beau et majestueux, il est très indépendant de Gwèndàll même s'il reste la plupart du temps avec lui, notamment quand celui-ci prend l'initiative de voler avec Hülfwèn. Sinon, le reste du temps il dort, perché en haut d'un arbre surveillant du coin de l'oeil Gwèn ou bien, il chasse. C'est l'un de ses passe-temps favoris après voler encore et encore, planant dans le ciel comme ses ailes le lui permettent.

D.R.A.G.O.N

Nom : Hülfwèn

Pouvoir :
Ce dragon a un pouvoir de foudre et sait très bien s’en servir. En effet, elle vise avec une précision excellente mais ce qui est le plus étonnant c’est qu’elle essaie de « calculer » la puissance qu’elle doit mettre pour faire ce qu’elle veut de la cible histoire de ne pas se fatiguer en surplus.

Physique :
Hülfwèn est un dragon qui aime bien tenter de paraître plus grand que ce qu’il est. Toutes griffes et ailes dehors on sent bien qu’il se dégage une atmosphère électrique lorsqu’on s’approche de lui. De plus, sa couleur noire ne fait rien pour arranger les choses et beaucoup le considère comme un mauvais dragon prêt à vous égorger à la seconde où ses deux yeux gris vous repèreront. Ses pattes ressemblent plus à des mains et pieds humains ce qui peut vous donner froid dans le dos, notamment avec la longueur de ses griffes. Sa longue queue est fine et l’aide bien lors des combats pour immobiliser son adversaire.

Caractère :
Très indépendant des humains que ce soit pour la nourriture ou ses propres besoins, Hülfwèn accepte quand même de se laisser nourrir pour ne pas mourir de faim, mais uniquement par son dragonnier car elle a déjà fait cinq blessés chez les palefreniers qui s’approchaient trop près de sa mangeoire. Ce n’est pas un dragon méchant mais il peut se montrer d’une extrême violence si on ose le provoquer. Car effectivement, Hülf’ s’énerve avec une certaine rapidité, il faut donc savoir le canaliser avec une certaine fermeté. Mais il faut faire attention à ne pas aller à l’encontre de certains principe et être toujours agréable avec lui car il n’hésitera pas à lancer une petite décharge sur son dragonnier s’il trouve que celui-ci dépasse les bornes et c’est pareil pour tout. Mais généralement, ce dragon aime bien prendre des initiatives notamment lors des raids mais si son dragonnier n’est pas d’accord il se pliera rapidement à sa décision, toujours dans l’esprit que son dragonnier est quelqu’un de bien. Attention à quiconque essaiera de faire du mal à son dragonnier car sinon celui qui s’y attaque risquera de passer un sale quart d’heure ou de se faire envoyer dans l’autre monde. Attentionné, on peut compter sur lui pour faire attention à ce qu’il fait. N'empêche, on peut bien constater que Hülfwèn adore jouer et n'hésite pas à faire de petits extras qui risquent d'en faire voir des vertes et des pas mûres à son dragonnier.

Points forts :
Hülfwèn est un dragon qui n’a peut-être pas une force aussi impressionnante que les autres au combat mais qui arrive à allier souplesse et rapidité.

Whôw, jolie & mystérieuse histoire... Que lui est-il réellement arrivé pour être amoché à ce point ?
Bon béhhh re-bienvenue dans la V.III de Sely

Bienvenuuue!

Il peut jouer le BG ^^

Muahahaha secret défense x)
Ouais j'vais pouvori faire tomber toutes les charmantes jeune femme sous mon charme